Apprivoiser sa timidité

Apprivoiser sa timidité pour enfin oser s’affirmer

Apprivoiser sa timidité est possible, la première des conditions est d’accepter cette timidité pour  la faire sienne et la transformer en force. L’acceptation de ce que nous sommes est l’étape incontournable pour accéder à l’affirmation de soi. Une première piste : à personne affirmée, personne respectée ! En cet instant, intervient la loi du miroir. Pas de panique, je vais vous expliquer tout cela. En un éventail de recettes ici dévoilées, voici quelques bases incontournables aux ingrédients épicés de saveurs personnelles.

Apprivoiser sa timidité, pourquoi ?

Mieux vaut accepter sa timidité et en tirer sa force, sinon…

Que fait le timide en société quand il est amené à prendre la parole ? Il se surveille et ne s’affirme pas!

Quelle tendance à le timide en société quand il se trouve trop exposé ? Il se cache et ne s’affirme pas!

Quelle attitude adopte le timide pour échouer dans ces approches de contacts ? Il se juge et ne s’affirme pas !

Le timide passe son temps à se comparer, il est centré sur lui-même tant il souffre de ne pouvoir s’ouvrir aux autres avec sérénité. C’est un véritable calvaire.

Comment faire pour apprivoiser sa peur et revivre en osant s’affirmer?

Savez-vous qu’être timide est une force par rapport à ceux qui ne sont pas timide et qui semblent tellement sur d’eux-mêmes ? Apprivoiser sa timidité en l’accueillant comme telle est déjà une première étape. Timidité : puits à richesses, vous êtes une richesse inestimable et vous l’ignorez !

Voilà de quoi vous réconcilier avec vos richesses personnelles.

Donc première étape : acceptez-vous comme vous êtes ! Facile à dire ? Je suis passée par là et je comprends tout à fait votre questionnement face à cette affirmation. S’accepter tel que l’on est, c’est croire en soi, donc en ses valeurs. Chaque fois ou j’ai douté de moi, j’ai échoué. Chaque fois où j’ai cru en moi, j’ai réussi.

Mettre au panier son égocentrisme

Ou… son nombrilisme

 Quoi moi, centré sur moi ? Je vous sens quelque peu agacé mais je dis la une vérité que j’ai aussi vécue. Tellement centrée sur ma timidité, à me surveiller, à me comparer, à me juger que j’en oubliais de me projeter vers l’autre. Avec toutes ces pensées de timide, quand j’y pense, pas étonnant que je me sois ramassée quelques gamelles.

Deuxième étape : apprendre à s’oublier pour s’ouvrir à l’autre. Imaginez-vous devant un timide, quelle attitude auriez-vous envers lui ? Pour apprivoiser sa timidité, ça commence par s’intéresser à l’autre. S’ouvrir au monde pour se rendre compte que chacun de nous est un être infini très petit, vraiment très petit dans ce vaste, très vaste monde.

Cette vision de la timide que j’avais de moi à vraiment changée l’optique que j’avais de ce monde que je croyais fixée sur moi, comme si des caméras étaient fixées sur ma vie me stigmatisant dans ce que j’étais en tant que timide. STOP : ceci n’est qu’une image bien sûr. Le timide se fait beaucoup d’idées fausses par manque de confiance en lui.

Donc s’oublier soi permet de donner vie à ses infinies richesses pour apprivoiser ses craintes

Ah j’allais oublier : quel style dois-je poursuivre ? Selon mes lecteurs, certains apprécient un sujet traité un peu plus en profondeur et d’autres trouvent qu’il faut s’accrocher… A vous de me dire et surtout merci à tous !

Pour aller en profondeur dans la connaissance de soi et apprendre à vaincre ses peurs et aller de l’avant, voici un outil indispensable : 

  • Bonjour Hélène,
    Lorsque j’étais petite fille j’étais d’une extrême timidité et la
    Danièle de Forme et bien-être Articles récents…Les conseils contre le stress de la rentréeMy Profile

  • je continue…
    La seule façon que j’avais de la surmonter c’était l’insolence.
    Depuis je me suis un peu ratrapée mais dans certaine circonstances ma timidité me rattrape comme lorsqu’il faut que je parle à une personne d’un produit qui pourrait lui être utile. Le blog permet donc de donner des conseils à beacoup de personnes sans avoir ce senntiment de vouloir imposer.
    Tu donnes comme d’ahbitude de très bons conseils que je vais metre en pratique.
    Belle et douce journée.
    Danièle
    Danièle de Forme et bien-être Articles récents…Les conseils contre le stress de la rentréeMy Profile

    • Helene Hug dit :

      Le vent s’est calmé…

      Si tu es convaincue de l’utilité de ton produit, tu peux en parler avec passion sans souci. Ainsi la timidité n’a plus lieu d’être car tellement passionnée, tu t’oublie totalement.
      Après coup, tu te dis que ce n’était pas si difficile.

      La timidité est comme un miroir de ce que l’on est au fond de soi. Je peux me trompée mais pas beaucoup… Tous les jours, j’en fais l’expérience dans toutes mes prises de paroles.

      En résumé : toi, tu présentes ton produit avec passion, l’autre adhère ou pas, ce n’est pas ton problème. Tu as fait ce qu’il fallait, laisser à l’autre faire son choix.

      Psitt : je n’est pas toujours raisonner de cette façon.
      Helene Hug Articles récents…Apprivoiser sa timidité pour enfin oser s’affirmerMy Profile

  • Salut Hélène
    Il n’y a pas de hasard, hier même un marketeur m’a re-re-re-dit qu’il valait mieux faire des articles assez courts (500-600 mots). J’ai beaucoup de mal aussi à raccourcir, j’aime mieux écrire selon l’inspiration du moment, mais … l’intérêt c’est que nos articles apportent quelque chose à ceux qui les lisent !

    En tout cas, en voyant ton article sur CE sujet en particulier, j’apprécie qu’il soit court. Parce que : si tu avais fait une liste de 10 conseils pour dépasser sa timidité, je les aurais certainement lus avec plaisir, mais oubliés aussitôt.
    Sur un sujet comme ça, avec une liste de conseils, je suis convaincue qu’il est utile de les « distiller » par épisodes, un ou deux à la fois, pas plus :
    – pour laisser aux lecteurs le temps de les intégrer et de les appliquer,
    – et aussi de créer une anticipation qui fera en sorte qu’ils profitent mieux des conseils suivants.

    Donc : articles longs ou articles courts, ça dépend sur quoi ! L’idée c’est juste qu’ils apportent le plus possible à ceux qui les lisent, et aussi qu’on soit sincère et qu’on se fasse plaisir en écrivant (sincérité et plaisir : c’est sûr que ce n’est pas un problème pour toi, ni pour moi d’ailleurs).

    « S’oubler pour s’ouvrir à l’autre » : c’est surtout oublier sa PEUR de ne pas être aimé par les autres.
    Une idée qui m’a beaucoup aidée, c’est :
    – si ils me jugent et pensent du mal de moi, ce n’est pas la meilleure partie d’eux-mêmes qui réagit comme ça
    – c’est une réaction due à leurs conditionnements (rejet parce qu’on n’est pas dans leurs « normes », parce qu’on réveille en eux des désirs réprimés de sortir de leurs propres normes, et programmation à regarder de travers les gens qui leur font ressentir tout ça).
    – La Meilleure partie de nous tous est Amour inconditionnel, et elle se fiche complètement des normes.

    J’attends avec impatience tes autres suggestions sur la timidité.
    Bonne journée à tous  .
    Claude, de « J’aime l’EFT » Articles récents…Pauvres dictateursMy Profile

    • Helene Hug dit :

      Merci Claude, syncronicité à l’œuvre on dirait.

      L’univers est comme une horloge avec ces engrenages nous reliant les uns aux autres.
      Donc merci pour ta visite déposant tes éclairages par ici.

      Vois-tu, certains conseillent des articles de plus de 2 milles mots.
      Actuellement, je lis beaucoup qu’il est nécessaire de publier tous les jours.

      Qui possède la science infuse ? Personne ! Tout est en fonction des sujets traités et de la passion de celui qui écrit.

      Pour en revenir à la timidité : oui, nous sommes pétris de peurs issues de notre éducation. En permanence, le jugement de l’autre pointe son œil sur toutes nos actions.

      Si seulement l’amour inconditionnel envers soi et les autres pouvait être accepter comme de boire et manger… Tout irait beaucoup mieux.

      L’idée de distiller par épisode me semble bonne.

      Pourquoi ? Je ne sais pas si tu as lu les Mystères de Marseille (c’est voulu, je ne divulgue pas l’auteur. A l’époque, c’était diffusé sous forme de feuilleton. Quand j’ai lu ce roman, il y a de cela 20 ans, j’ai été subjuguée par cette technique. Peut-être que je ne devrais pas divulguée cette recette ici ?

      A bientôt pour la suite, Claude.
      Helene Hug Articles récents…Apprivoiser sa timidité pour enfin oser s’affirmerMy Profile

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